Cette pièce évoque la percée dans la couche d'ozone, la fragilisation de cette couche censée nous protéger des rayons ulltraviolets les plus nocifs. Le fil de cuivre traduit le feu du soleil dont les rayons ne seraient plus correctement filtrés.
Ozone est écrite d'un seul tenant avec un fil de cuivre, les rangs successifs étant simplement reliés entre eux par de petits "noeuds".
Fil de cuivre sur panneau bois peint en blanc, 165 cm x 165 cm